Description
Après avoir durant des décennies écrit des milliers de signes, des fleuves de mots pour crier sa révolte contre une société dans laquelle elle se sentait à l’étroit et questionner le sens de l’existence, Jo(sette) Pellet a découvert le haïku : l’une des formes les plus concises de la poésie, entaille dans le silence et trace déposée sur le blanc de la page.
« Ecrire des haïku, dit-elle, c’est découvrir une autre manière d’être au monde. C’est voir la vie autrement, en découvrir les petites choses, appréhender le quotidien avec des yeux neufs. »